Fergilicious...
Le Duo, chapitre 23
Croire en lui, prologue
Growing Pains, chapitre 1
Le Duo, chapitre 23
Croire en lui, prologue
Growing Pains, chapitre 1
Yo le monde =P Voice le chapitre tant attendu xD Chapitre que je trouve nul et raté. Je suis pas douée pour les lemons alors bon T_T J'espère vraiment l'avoir réussi mais s'il l'est
pas, dite le moi que j'en fasse un mieux la prochaine fois.
Sid: Je prends ton msn et j'efface. En fait, finaement, c'est bon, mais je t'enverrai quand même un mail plus tard xD
Lutraah: Copiiiiiiiine ! Tu penses tout pareil que moi xDDD
Allez, bisous all, et bonne lecture ^^
Cédric avait fait la
tête tout le reste du trajet.
- Zoé je t'en supplie ! C'est ta futur femme après tout.
- C'était qui ce gars ?
- Quelqu'un.
- Très bien. Tant pis pour toi.
Zoé se gara devant un immeublee luxueux. C'était apparemment un bâtiment qui datait du siècle précédent
mais les rénovateurs avait réussi à garder la tructure d'origine.
- C'est trop beau ! Tu vis vraiment là ?
- Ouais.
Zoé tourna l tête vers Cédric et sourit face à l'expression qui était apparu sur son visage. Ses yeux brillaient et dévoraient le bâtiment et un sourire béat était apparu. Il était comme un enfant découvrant ses cadeaux de noël. Le coeur de Zoé se mit à battre plus vite.
- Dieu ce qu'il est mignon, pensa t-il furtivement.
- C'est la première fois que je vois un aussi beau bâtiment ! annonça Cédric au bout d'un moment. Et pourtant, j'ai beaucoup voyagé. La Jamaïque, le Canada,
les Indes, la Chine, le Japon, la Corée et j'enpasse. Si j'avais su que c'était dans ma ville natale que je trouverai une aussi belle façade...
- T'es passioné on dirait. A vrai dire, c'est Lolo qui a choisit. J'm'en foutais royalement à ce moment.Et tu sais quoi ?
Zoé s'abaissa légèrement et murmura à son oreille: Je la remercie du fond du coeur d'avoir choisi ce lieu. J'aurais sans doute jamais pu voir la magnifique
expression qui se trouve sur ton visage. Elle est...comment dire...bandante.
Il mordilla et lécha légèrement le lobe de son oreille et effleura, avant de se redresser, son sexe. Il se remit en route et lança à Cédric un regard plus qu'explicite: Je te veux,
maintenant.
Ils montèrent les escaliers et virent Charlotte en train de les attendre en haut de l'escalier.
- Vous foutiez quoi, merde ! Ca fait un quart d'heure que je vous attends.
- Il a eu la visite de quelqu'un et j'ai dû attendre que Cédric mette fin à la conversation.
Ce dernier rougit légèrement.
- Visite de dernière minute.
- Bon, rien à foutre ! Dépêchez-vous de...AAAAAAAAH!!
- OH MON DIEU !! Charlotte !!
Cédric éclata de rire. Charlotte était en train de dévaler les marches de l'escalier suite à un mauvais
pas.
- Arrête de rire Cédric ! Oh putain ! Charlotte, ça va ? J't'avais déjà dit de faire attention ! T'es vraiment maladroite.
- Je crois que je me suis éclatée la jambe.
Cédric se mit à rire encore plus fort. Il en avait des crampes d'estomac et des larmes coulaient de ses
yeux.
- Ouais ben, toute façon, le rire, c'est tout ce qu'il te reste vu que je dois amener Lolo à l'hôpital.
Cédric stoppa immédiatement de rire. Il était à deux doigts de...
- AAAAAAh, tu ris moins maintenant que ta partie de jambe en l'air est compromise, hein ? Ca va t'apprendre à te moquer de moi, pauvre fille avec un horrible mal de jambes.
Ils allèrent à l'hôpital et en revinrent 2 heures après. Charlotte, exténuée, s'était endormie dans la voiture et Cédric avait continué à bouder. Seul Zoé
était, mystérieusement, joyeux et dynamique.
- Attends-moi là. Je vais coucher Lolo et j'arrive.
Il revint 10 minutes plus tard et conduit Cédric jusqu'à chez lui.
- Tu m'offres un verre ?
- Si ça te botte...marmonna Cédric.
- Quelle énergie. Moi qui pensait que t'aurais aimé continué notre affaire de ce matin, mais t'as l'air
fatigué. Je vais te laisser te reposer.
- L"affaire de ce matin ?
- ...
- L'affaire de ce ma... AAAAAAAH !! Non non, je pète la forme, je t'assure ! D'ailleurs, je t'en ferais
une démonstration si tu restes.
Il fit un sourire éclatant avant d'ouvrir la porte.
- Tu veux quelque chose ?
- Hmmmm.. Si gentiment demandé...
Zoé sapprocha à grandes enjambées de Cédric et s'attaqua directement à son cou.
- T'es entreprenant à ce que je vois.
- Ca pose un problème.
- Au contraire. J'ad...Héé !
Zoé venait de passer ses mains sous le tee-shirt de son amant et lui caressait le torse.
- Tes mains sont froides.
- Faudra faire avec...
Les caresses arrêtèrent quelques secondes. Zoé avait relevé la tête et regardait maintenant Cédric avec un désir évident. Il approcha millimètre par
millimètre ses lèvres de celles de son secrétaire. Les secondes se transformaient en heures pour Cédric. A bout de patience, il commença à frotter son bas-ventre contre celui de Zoé, lui faisant
comprendre qu'il en voulait plus. Un sourire apparut sur le visage de Zoé. Il comptait bien être le dominant, celui qui faisait hurler de plaisir. Il était fièr que son manège fonctionne
parfaitement. Il allait faire bouillir d'impatience Cédric, et au moment où il devra s'attaquer à la partie la plus sensible, il partira, prétextant le fait que Charlotte soit seule.
Leurs lèvres entrèrent enfin en contact et les caresses de Zoé reprirent de plus belles. Plus le baiser était passioné, plus les mains de Zoé se faisaient aventurières. Elles avaient commencé par
le haut du dos pour la main gauche et de la poitrine pour la droite. Lorsque Zoé avait commencé à sucer, lécher et mordre les lèvres de Cédric, une main était descendue dans le bas de son dos
tandis que l'autre faisait l'aller retour entre ses tétons et ses abdos. Des frissons parcouraient le corps de Cédric. On l'avait rarement caressé comme ça et ça ne lui avait jamais fait autant
d'effet.
Au moment où Cédric entrouvrait la bouche pour laisser la langue de Zoé y pénétrer, la bouche de ce dernier dévia subitement et embrassa sa machoire avant de revenir au cou. Il déposa des baisers un peu partout, s'attardant un peu plus longtemps sur la pomme d'adam et descendant jusqu'à la base du cou. Toute caresse stoppa au plus grand mécontentement de Cédric. Il poussa un soupir de frustration avant de sentir que Zoé lui enlevait son tee-shirt.
Zoé, lui, perdait complètement la tête. Il n'avait pas pensé que de simples caresses lui feraient autant d'effet. Il n'avait pas prévu d'enlever le tee-shirt
de Cédric. Il comptait s'arrêter bien avant il avait envie d'entendre Cédric gémir plus fort. Une fois le tee-shirt enlevé, il reprit ses baisers là où il les avait arrêté. La peau de Cédric
était douce et légèrement acidulée. Il adorait ce goût. Il la lécha du bout de la langue et arriva à un téton qu'il goba sans hésiter. Un long gémissement sortit de la bouche de Cédric.
- T'es sûr que c'est ta première fois avec un homme ?
Zoé ignora la question et continua à mordiller le bout de chair durci par ses baisers. Il se releva soudain et regarda Cédric dans les yeux.
- J'en peux pls. Je veux te prendre maintenant. Je vais exploser.
Il enleva le plus vite possible ses vêtements et entreprit de faire de même avec Cédric.
- Woauw ! Je savais que t'étais bien monté mais le voir de mes propres yeux, ça fait un choc. Cinq
centimètres de diamtre ? Plus ?
- J'en sais rien.
La voix de Zoé était devenue vraiment rauque.
- Ta voix est vraiment érotique là. Dis-moi quelqque chose d'excitant pour voir.
- Je vais te défoncer. Et sans préliminaires. Tu vas adorer.
- Quoi ? Mais t'es malade !
Zoé n'écouta pas Cédric. Il le souleva et mit son sexe à l'entrée de son anus.
- Putain Zoé ! Non mais t'es sérieux ?
Pour toute réponse, Zoé s'enfonça en lui d'un coup sec. Cédric hurla de douleur et griffa le dos de Zoé. Même lors de sa première fois, la douleur n'avait pas été aussi vive et violente. Des larmes coulèrent lorsque Zoé entama le prmier va et vient. Au deuxième aller-retour, le plaisir se mêla à la douleur. Zoé venait de frôler son point G.
- C'est trop...bon...Cédric...
- Content que... AAH... tu prennes ton pied...parce que c'est pas du tout mon...
Un cri de plaisir franchit les lèvres de Cédric. Zoé touchait maintenant à tout les coups son point G.
Zoé avait entendu le cri de Cédric et mettait à présent encore plus de force dans ses coups de reins. Cédric lui griffait toujours le dos, mais de plaisir.
De la sueur passait sur ses plaies que lui faisait son secrétaire et lui faisait légèrement mal. Des spames parcouraient maintenant leur corps brûlant et s'était un miracle que Zoé réussissent
encore à tenir debout tout en soutenant son amant. Sentant qu'ils allaent bientôt se libérer, Zoé se mit à masturber Cédric qui, hurlant déjà avec la pénétration, ne savait plus comment exprimer
son plaisir. Ils éjaculèrent finalement à plusieurs secondes d'intervalles, au comble du plaisir.
Zoé tomba à terre, ne tenant plus debout. Il avait maintenant du coton à la place des jambes.
Hello le monde ! Pour celles qui attendent la suite de "Le Duo", je vous mets la suite dès que mon père a réparé mon ordi. Vous auriez dû avoir la suite de cette histoire hier mais
j'ai à peine eu le temps d'écrire lees trois-quarts de l'histoire vu que je devais partir. Enfin bref, je suis contente que mes histoires vous plaisent =] J'espère que vous aimerez ce chapitre XD
Non, il n'y a pas de sexe dedans =P Prochain chapitre si j'ai pas une idée diaboique entre emps ptdrr C'était censé être ce chapitre mais il y a eu un petit déviment (édviment qui me servira
sûrement plus tard xD)
Encore une chose, je raconte quelque chose sur les Hummers tout à la fin mais je sais pas du tout si c'est vrai, hein xD
Bisous all ^^
Cédric avait été, bien que très surpris, ravi que Charlotte lui passe un appel. Il avait cru que ça prendrait un temps interminable avant
que Zoé ne se décide à accepter de coucher avec lui. Le seul petit problème était Lolo. Bon d'accord, elle était sympa mais la voir nue allait contre ses principes, et son plaisir. Il avait une
fois accepté de faire un plan à trois pour son meilleur ami et sa copine. Ca avait était absolument horrible pour lui. La voir gémir ou écarter les jambes pour que son copain la prennes pendant
que lui prenait son meilleur ami...
Il n'avait jamais couché avec une femme auparavant et cette scène avait anhiler toute envie du genre.
- Va falloir que je trouve un moyen pour qu'on se débarasse d'elle.
Il soupira et alla fouiller dans son armoire, cherchant des vêtements sexy et classe.
- Que je suis bête. Je suis déjà sexy et classe naturellement, alors avec mes fringues obligatoirement sexy et classe, ça fait un double effet.
Il se mit à ricaner bêtement et choisit un ensemble tous simple. Un tee-shirt moulant rose pâle avec marqué dessus pratic self-sex en lettres d'or et un jean bleu marine, déchiré près, très près, de l'entrejambes.
- Et ben voilà ! Si c'est pas classe, c'est au moins très sexy.
Il alla à la salle de bain se brosser les dents. Il venait de finir lorsqu'on sonna à la porte.
- Mmmm, il était impatient à ce que je vois.
Il courut vers la porte, sûr d'y voir Zoé et sauta sur les lèvres du nouvel arrivant, sans y faire plus attention. Il fut d'aileurs étonné de constater que Zoé lui rendait ardamment son baiser. Il se dégagea et fit un sourire sexy.
- Je vois que la perspective que...JAKE ? Kéketufoulà ?
- Je savais que je te manquais. Tu vois, je suis venu parce que...je veux revenir avec toi.
- Jake ! C'est fini entre nous !
- Ca ne s'est jamais fini pour moi. Je suis sûr que ton corps brûle que je le touche.
Jake avait été le premier homme dont il était tombé follement amoureux. Trois mois plus tôt, il l'avait trouvé en train de se faire la patronne de leur restaurant préféré. Une femme. Il avait eu le coeur brisé mais c'était retenu de pleurer devant lui. Il ne voulait pas de sa pitié. Il l'avait alors jeté dehors en lui crachant à la figure et lui avait hurlé de ne plus jamais remettre les pieds dans son appartement. 2 ans de relations foutue en l'air par une femme. Si ce n'était pas à vous dégoûter du genre féminin. Il avait pleuré les deux premiers mois. Beaucoup trop. Et évidemment, c'est quand il s'apprêtait à revivre que ce connard revenait.
- Tu rêves éveillé. Allez, casse-toi.
Cédric essaya de fermer la porte mais Jake mis son pied.
- Toujours aussi classe et sexy à ce que je vois. Et ce trou près de ton sexe... Il me donne des chaleurs.
Entendre Jake lui parler sensuellement lui avait manqué. A son bas-ventre aussi à en croire le sang qui y affluait. Cédric n'avait plus du tout envie qu'il parte. Il voulait se faire prendre, ici. Contre la porte. Et surtout, maintenant.
- Jake...Prends-moi.
- Avec plaisir mon beau.
Il attrapa vivement Cédric et se mit directement à lui embrasser le cou tandis qu'il laissait ses mains errer sur son torse.
- Dis-moi Céd', t'as baisé pendant ces trois mois passés sans moi.
- Nnnnnnnnnn.
- J'ai pas trop compris.
- NON. J'me suis pas fait prendre, j'me suis pas masturbé, j'ai pris personne. Satisfait ?
- Ta queue doit être en feu alors. T'en fais pas. j'vais m'en occuper. Comme au bon vieux temps.
Jake mit sa main sur le sexe de son amant et se mit à masser à travers le pantalon. Cédric commença à gémir, trop content de se faire enfin baiser. Il en oubliait Zoé.
- Jake...réussit-à articuler Cédric entre deux gémissements. T'es...t'es plus avec...ta...ta pute...
- Hmmmm...non.
- T'as enfin...ré...réaliser...qu'il...n'y avait...que...que la queue...et le cul....d'un...d'un mec...qui...qui pouvait...te satis...HAN...te satisfaire ?
- A vrai dire, elle m'a foutu dehors quand elle m'a découvert avec un autre mec au lit.
Cédric sembla comprendre. Jake n'avait déjà pas d'appartement quand il l'avait foutu dehors. Il était allé vivre avec sa connasse et maintenant qu'elle aussi
l'avait foutu dehors, il voulait revenir ?
Tout envie avait disparu du corps de Cédric. Une envie qui avait laissé place au dégoût.
- Tu me prends pour un con ? Dégage de chez moi. Et je te jure que si tu reviens, je porte plainte pour harcèlement.
- Allez, fais pas ta pucelle. Il y a une seconde, t'étais prêt à te faire baiser à la vue de tous et maintenant, tu me repousses. Je sais que ta queue à besoin d'être...
- Ta gueule ! D'ailleurs, y a mon coup de ce soir qui est arrivé !
Il ferma la porte à clé et courut vers la voiture de Zoé. Il ne l'avait pas du tout vu.
- Je vois que tu te fais pas chier ! cria Jake pour que Cédric l'entende. Un Hummer ? Ca coûte la peau du cul ces trucs.
- Ouai ! Lui, c'est mon patron et ancien ennemi, Zoé Batista. J'me fais 8000 dollars en comptantles heures sup' et ce soir, j'le baise pendant que lui se fait sa bonne femme. Satisfait ?
- Ouais. Tu te prostitues pour un vieux croûton quoi.
- Vieux croûton ?
Cédric ouvrit la portière conducteur et fit sortir Zoé.
- Voici le vieux croûton, connard ! Tout à fait baisable ! Allez, va te coucher, il est tard !
- Je suis pas un trophée Cédric.
- S'il te plaît, ferme-là. Je t'en supplie, murmura Cédric à Zoé.
- T'en fais pas bébé, je vais revenir. Ton cul me manque trop. Et, Zoé, c'est ça ?
- Ouais.
- Tu sais pas quel pot tu as. Ce mec est plus chaud que la braise quand il s'agit de baiser.
- Ta gueule Jake !
Jake tourna les talons. Il allait revenir. Et il prendra tout à ce Zoé. Son mec, son fric et sa copine. C'était un peu gamin mais c'était dans sa nature.
Zoé était remonté dans la voiture et avait démarré tout de suite après que Cédric se soit assis. Il était très énervé. Et il ne savait pas réellement pourquoi ? Parce qu'il était jaloux de ce mec qui avait baisé avec Cédric ou parce que Cédric l'avait traité comme un jouet ?
- T'es fâché Zoé ?
- ...
- Je présume que oui.
- Je suis pas un putain de jouet, ni un trophée, ni quoique ce soit.
- T'es le gars que je vais baiser ce soir...dit Cédric avec une voix la plus chaude et sensuelle possible.
- Rectification. JE vais te baiser.
- Et Lolo ?
- C'est toi qui la prends.
- QUOOOOI ? Jamais de la vie !
Zoé regarda Cédric, surpris de son changement d'attitude.
- Arrête ton cinéma. C'est pas grand chose.
- Je suis 100 % gay, tu m'entends ?
- Ca empêche rien du tout.
- SI ! J'ai une fois fait un plan comme ça avec mon meilleur ami et je t'assure que ça m'a dégoûté !
- Elle devait pas être belle la femme.
- Non, non et non je veux pas ! En plus, depuis que j'ai surpris ce connard de Jake en train de baiser une femme, j'en suis allergique.
- Ooooh, arrête ton caprice !
- Non non et non ! Plutôt crever !
Cédric détacha sa ceinture et ouvrit la portière. Zoé ouvrit grand les yeux, ahuri.
- Ferme cette porte !
- NON !
- Ferme cette porte Cédric !
- NON !
- OK ! Ben on va crever ensemble parce que pas question que j'ai ta mort sur la conscience !
Zoé lâcha le volant, attrapa Cédric et l'embrassa sauvagement.
- AAAAAAAAH !! T'es malade ! Reprends le volant !
- Non.
La situation commençait vraiment à devenir dangeureuse. Zoé embrassait Cédric, la portière était ouverte et la voiture faisait des zig-zags parce que Cédric essayait tant bien que mal de conduire. Plutôt mal vu que Zoé ne voulait pas lâcher les lèvres de son secrétaire.
- JE CAPITULE !! Je coucherai avec Lolo ! Alors par pitié, reprends ce volant !
- Ah ben voilà ! J'ai ta parole ?
- Oui...
Zoé fit un sourire satisfait et reprit le volant.
- Tu sais, il ne nous serait rien arriver. Si t'avais pas touché le volabnt, on serait allé tout droit vu que la route est droite.
- Quoi ?
- Ben oui, elle est semi-automatique donc de un, pas besoin de toucher la boîte de vitesse, et de deux, tant que la route est droite, la voiture ira tout droit, même si je lâche le volant.
Cédric resta bouche bée. Il allait devoir coucher avec Charlotte...pour RIEN. Comment est-ce qu'il pourra ne serait-ce que bander pour elle ?
- Ca va être fun, soupira Cédric.
- Tu l'as dit bouffi !
Cédric finit ses traductions à 2h30 du matin. C’est exténué qu’il rentra chez lui, jubilant déjà de sa vengeance qui sera, d’autant plus, une vraie partie de plaisir.
Zoé lui dormait déjà depuis un bon moment. Charlotte et lui étaient rentrés chez eux et avaient passé le reste de la soirée à regarder la télé. Lorsque Charlotte aventura sa main dans son pantalon, Zoé trouva une excuse vaseuse pour fuir. Ca faisait belle lurette qu’il n’avait plus de désir pour elle. Il ne…bandait même plus du tout. A part peut-être devant les films pornos…gays.
- Je suis pas dans la merde moi.
Ce fut la dernière chose à laquelle il pensa avant de s’endormir.
Cédric se réveilla 5 heures plus tard. C’est à peine s’il tenait debout mais s’il ne se levait pas maintenant, il serait en retard.
- Pffff ! J’espère que c’est un bon coup en plus. J’me saigne au travaille et ça fait 3 mois que j’ai rien de chez rien fait de sexuelle. J’vais mourir. Comment est-ce que je vais me le faire ? Sur son bureau ? Contre la porte de son bureau ? Sur le canapé de son bureau ? Pourquoi pas dans la salle de conférence ? Ou dans les toilettes ? Oh mon Dieu je m’aime ! Toutes ces idées sont à tester tiens !
Il entra dans la douche et laissa le jet d’eau chaude détendre ses muscles. Inconsciemment, il fit errer ses mains sur son torse imberbe. Il s’imaginait déjà en train de prendre Zoé à la dérobée, dans la crainte que Lolo les découvre. Une partie de son anatomie se dressait à cette pensée. Zoé, tout à lui, gémissant de plaisir…Se retenant comme il pouvait d’hurler tout le plaisir que lui procurait le sexe de Cédric en lui…ou vice-versa…
Cédric se mit à sa caresser, soupirant d’aise. Il touchait enfin sa…bête de guerre ? 3 mois sans plus que rien…
Zoé arriva plus tôt que d’habitude au bureau. Il se culpabilisait de n’avoir pas travaillé de presque toute la journée hier. Ca lui faisait du bien après tout mais ça n’était pas son habtude. Il fut très surpris de constater à son arrivée que Zoé avait fait toutes les traductions demandées. C’était juste pour l’emmerder qu’il avait demandé le travail pour aujourd’hui. Bien-sûr, il n’avait pas menti sur les traductions à faire, ça aurait été stupide, mais elles n’étaient à distribuer que le mois suivant.
- Bah au moins, il aura moins de boulot sur ses épaules après et m’accompagnera au conférence. Ca m’rendra service.
Quelqu’un toqua à la porte, le tirant de ses pensées.
- Entrez !
Il vit Cédric entrer timidement. Timidement ? Bordel, il est quelle heure en plus ?
- Mais t’y pas malade de venir à cette heure-ci ?
- Il est 8h30 monsieur.
- Arrête avec les monsieur, j’ai que 21 ans et on a été dans le même lycée alors appelle-moi par mon prénom.
- D’accord Zoé.
- Donc je disais. 8h30 et t’es déjà là. T’es parti te coucher à quelle heure hier ?
- 2h30.
- Et t’es là à 8h30 ? Putain mais le truc de ouf ! Tu dors pas ?
- Si si mais j’ai trop besoin de ce boulot.
- Bah, c’est pas pour 1500 $ d’heures supplémentaires que tu te retrouveras à la rue, hein.
- WHAT ? 1500 $ de bonus ? Le bonheur ! Sinon, j’ai fini toutes les traductions que tu m’as demandé !
- OK. Ben…euh…Je sais pas moi…Tu veux retourner dormir ?
- Non non ça va. Pis après la douche que je me suis prise, je suis bien réveillé.
- Baaaah…Tu peux m’aider à rédiger ces courriers ?
- Encore ?!
- Pas de traductions, t’en fais pas. Mais arf, j’ai rien d’autre à te donner.
- C’est parti, alors.
Ils se mirent au travail, surpris tout les deux de leur entente. Au lycée, ils se seraient déjà insultés et foutus des baffes. Tandis que Zoé dictait le courrier, Cédric tapait le texte à l’ordinateur. Tout à coup, Zoé arrêta de parler.
- Qu’est-ce qu’il y a ?
- J’ai une question à poser. C’est assez personnel en fait. Mais t’es le seul mec que je côtoie. Enfin non, pas le seul mec ! Mais t’es le seul à avoir le même âge quoi.
- T’as pas peur que j’utilise ce que tu vas me dire à mes profits ?
- Non. On est plus au lycée, hein.
- T’es bien confiant.
- Chut je parle ! Donc. En fait tu vois…avec Lolo…ça fait 3 mois qu’on a pas couché.
- WHAT ? 3 mois ? Vous êtes humains ? Elle est frigide ? T’es impuissant ?
- Justemeeeent ! Elle est pas frigide vu qu’elle veut tout le temps me faire des gâteries mais ça me fait plus rien. Aucun effet ! J’ai trop peur d’être impuissant ! J’ai que 21 ans bordel !
Cédric était mort de rire. Zoé ? Impuissant ? Si ça se trouve…
- Si ça se trouve, c’est juste que c’est plus ton trip.
- Plus mon trip ? Mais il faut que ce soit mon trip ! Il le faut ! C’est la femme de ma vie, tu vois ! On se mariera à coup sûre dans quelques années et moi…Moi j’ai plus de désir pour elle ! C’est la cata !
C’est ma chance ! 3 mois qu’on a pas baisé tout les 2. Si j’arrive à le faire rebander, je vais prendre un putain de pied ! Il paraît que plus on tient longtemps, plus c’est bestial à la reprise.
Cédric le regarda sensuellement et lui fit un petit sourire. C’était le moment idéal.
Zoé avait vu que Cédric avait radicalement changé de comportement. Dès qu’il aperçu la nouvelle expression qu’arborait son secrétaire, une bouffée de chaleur l’envahit.
- Bordel ! hurla t-il intérieurement. C’est pas le moment ! J’ai pas envie que ces pulsions homosexuelles ressortent maintenant !
Mais quand il vit Cédric se lever et lécher érotiquement ses lèvres, la seule pensée qui put arriver jusqu’à son cerveau était : Il FAUT qu’il me prenne…TOUT DE SUITE.
Le nouvel employé avait tout de suite remarqué que son petit manège plaisait à son patron. Il s’approcha lentement de lui, bougeant le plus sensuellement possible son corps. Fallait avouer que Zoé était très…bandant. Arrivé à quelques centimètres de lui, il s’arrêta et repris, fixant les lèvres de son patron.
- Et moi…Je te dis que tu as peut-être un autre trip. Un trip radicalement différent. Quand tu auras réalisé ce fantasme, ton problème avec Lolo sera sans doute réglé. Tu as un fantasme particulier ?
Cédric avait finalement daigné regardé son interlocuteur dans les yeux pour dire cette dernière phrase.
- Oui. Je veux que tu…Euh…t’éloignes.
Cédric le regarda amusé.
- Tu parles d’un fantasme. On se contentera du mien pour l’instant.
Cédric pencha la tête et attrapa les lèvres de Zoé. Il s’attendait à se que Zoé le repousse mais aucune réaction. Son patron se contentait de le regarder faire, surpris. Cédric ferma alors les yeux et approfondit le baiser. Il lui lécha et mordilla d’abord les lèvres. Des frissons le parcoururent. Les lèvres de son nouvel amant avait un goût de cerise. Il adorait la cerise. Elles étaient aussi tellement douces et pulpeuses. Il aurait voulu les embrasser un long moment comme ça mais il devina que Zoé en voulait plus lorsque ce dernier entrouvrit les lèvres.
Il partit alors à la rencontre de la langue de son patron. Elles se taquinèrent un long moment, essayant de se dominer l’une l’autre. Cédric finit par lâcher les lèvres de son ancien ennemi et vint à la rencontrer de son cou. Il traça des sillons de sa langue et s’attarda à un endroit qui arrachait des gémissements à Zoé. Il commença à suçoter doucement l’endroit tandis que ses mains partaient à la découverte du corps lui étant offert. Un ventre divinement musclé, un dos tout aussi bien formé, des fesses…incroyablement rondes et fermes. Ses mains hésitèrent quelques secondes à toucher l’entrejambes mais lorsqu’il entendit le nouveau gémissement, il franchit les derniers centimètres.
Il massa en premier lieu le sexe à travers le pantalon mais ce contact ne le satisfaisait pas. Il fallait qu’il touche à même la peau. Et puis, les gémissements de moins en moins timide que poussait Zoé l’excitait. Il défit la ceinture et les boutons du jean de son patron et effleura le sexe à travers le boxer. Il avait l’air énorme.
Il mit lentement sa main dans le boxer. Enorme. Vraiment énorme. Les sensations de ouf qu’il aurait lorsque Zoé le prendra.
Cédric commença à faire des va et vient sur le sexe. Aucune réaction au début mais dès qu’il toucha les testicules, le sexe commença à gonfler.
Il arbora un léger sourire, fière de lui. Il abandonna le cou de son patron pour s’adonner au lobe de son oreille. Une zone complètement érogène à en croire les gémissements plus fort que les autres qui sortaient de la bouche de Zoé.
En se levant ce matin, Zoé avait été à cent lieu d’imaginer qu’il aurait été en train de se faire masturber par son ancien ennemi. C’était assez bizarre à croire. Il rebandait…pour un homme. Mais cet homme avait immédiatement trouvé les zones érogènes que Charlotte avait pris près de 6 mois à localiser. Doué le bougre. En tout. Oh bon Dieu ! Qu’il arrête avec sa langue ! Encore un peu et ses jambes le lâchaient !
Et sa main…Sa main qui parcouraient son sexe, sa main qui faisaient des va et vient de plus en plus rapide. Sa main qui exerçait de plus en plus de pression sur son sexe. Cette putain de main qui le faisait pratiquement crier.
Elle s’attardait sur son gland, le lui caressait et finissait par redescendre lui caresser les testicules.
Plusieurs minutes passèrent avant que Zoé ne se libèrent, minutes pendant laquelle Cédric s’était de plus en plus excité. Il avait maintenant le sexe douloureux mais ne pourrait sans doute se libérer qu’au toilette.
Il ferma les yeux, profitant de l’apaisement qui l’envahissait avant de les rouvrir et de voir Cédric léchant sa main. Il la lécha consciencieusement, n’oubliant aucun recoin et ne lâchant pas son patron des yeux.
Il murmura à son oreille que ce n’était qu’un début avant de l’embrasser profondément. Et de s’éloigner à contrecœur. Il devait absolument se soulager.
- Tu devrais te rhabiller.
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